La partie de la République de Chypre placée sous le contrôle des autorités a une économie de marché recouverte d’un secteur offrant des solutions qui créditent des comptes dépassant plusieurs cinquièmes du PIB. Le tourisme, les fonds, les transports et les biens immobiliers ont toujours été les principaux fournisseurs. Chypre fait partie de l’Union européenne depuis mai 2004 et a adopté l’euro en tant que monnaie d’échange nationale en janvier 2008. Au cours des cinq premières années d’enregistrement, le taux de croissance de l’économie chypriote était d’environ 4%, avec un chômage entre 2004 et 2008, en moyenne d’environ 4%. Néanmoins, le système économique a basculé dans la récession en 2009 en raison de la catastrophe financière internationale actuelle et de la baisse de la demande qui frappe les secteurs des voyages et des loisirs ainsi que le développement. Un secteur bancaire commercial surexploité avec une exposition excessive à la dette financière de la Grèce antique inclus dans la contraction. Les deux plus grandes banques de Chypre figurent sur la liste des plus importants cas de liens de la Grèce antique avec des pays européens et ont largement existé en Grèce grâce à des succursales et des succursales d’organismes bancaires. À la suite de nombreuses dégradations de l’historique de crédit, Chypre a abandonné l’utilisation des segments du marché monétaire mondial en mai 2011, éventuellement en 2011. En juillet 2012, Chypre est devenue le cinquième gouvernement de la région euro à demander un système de sauvetage économique au sein des European Payment, European Key Banking le Fonds financier mondial – reconnu conjointement comme étant la « troïka ». Peu de temps après l’élection de Leader en février En 2013, Chypre est parvenue à un contrat avec la Troïka avec un plan de sauvetage de 13 milliards de dollars qui a déclenché une fermeture bancaire de deux semaines et imposé une gestion du capital qui est restée en place jusqu’en avril 2015. Les deux plus grandes banques chypriotes ont fusionné. l’entité reconstituée a été recapitalisée par la transformation d’un important dépôt d’institution financière en actions et par l’imposition de pertes aux détenteurs d’obligations d’institutions bancaires. Comme dans d’autres pays de l’UE, la troïka a conditionné le sauvetage à l’achèvement des réformes économiques et structurelles et à la privatisation des entreprises détenues par l’État. En dépit de la réduction des effectifs et de la restructuration, le secteur monétaire chypriote continue de pâtir du plus grand inventaire de prêts personnels de faible intensité de la zone euro, similaire à pratiquement la moitié de toutes les options de prêt. Depuis le plan de sauvetage, Chypre a apporté des évaluations positives de la Troïka et a surperformé les centres financiers, mais a eu du mal à vaincre l’opposition politique aux lois imposant un plan de sauvetage, en particulier en ce qui concerne les privatisations. Le taux de non-exécution de prêts financiers (NPL) reste extrêmement élevé, de l’ordre de 49%, et son expansion irait en s’accroissant si les institutions financières chypriotes pouvaient accélérer le rythme de résolution des créances improductives. En octobre 2013, un consortium américano-israélien a procédé à des évaluations préliminaires des gisements d’hydrocarbures dans le secteur économique spécial (ZEE) de Chypre, dont les stocks bruts indiquent des stocks d’environ 130 milliards de dollars cubes. Bien que les recherches se poursuivent dans la ZEE de Chypre, aucun magasin extra-exploitable à des fins commerciales n’a déjà été reconnu. L’établissement de solutions d’hydrocarbures en mer reste un élément essentiel des initiatives de réhabilitation économique du gouvernement, mais le développement est ralenti en raison des développements régionaux et des désaccords sur les méthodes d’exploitation.